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Mixtaroute : 350 millions de messages de préventions diffusés
41.500 battles pour la saison 5
38.800 fans de la page, l'application téléchargée 8.800 fois
La soirée de remise des prix de la 5ème édition de Mixtaroute a eu lieu le 13 octobre, à l’Electric, Porte de Versailles, à Paris,en marge du Mondial de l’Automobile.
Formations ECF au permis de conduire, stage UCPA, accessoires Yamaha... les gagnants du concours ont reçu leur lot en présence des partenaires de l’opération : l’ECF, l’UCPA, Yamaha et la DSCR. Initié par GEMA Prévention, Mixtaroute est un dispositif original, entièrement digital, destiné à sensibiliser les jeunes aux risques routiers : des jeunes qui sont les premières victimes de l’insécurité routière. En 2013, les 18-24 ans représentaient 19,5 % des tués sur la route alors qu’ils représentent 9% de la population.
Pour cette saison 5, Mixtaroute proposait aux jeunes, tout l’été, de se défier avec une application ludique et gratuite, disponible sur smartphone. Nouveauté cette année, Sam, le conducteur désigné, «celui qui conduit, c’est celui qui ne boit pas» a été intégré à l’application. Parmi les sons liés aux dangers de la route, l’humoriste Bérangère Krief prêtait sa voix à Sam.
En s’adressant directement aux jeunes sur leur écran préféré, Mixtaroute a une nouvelle fois rempli ses objectifs et trouvé son public. Ainsi, pour cette 5ème édition, 8.800 personnes ont téléchargé l’application. Près de 41.500 battles ont été lancées lors de cette édition estivale. Enfin, la page Facebook comptait au 1er septembre plus de 38.800 fans dont une majorité de 13-17 ans. Grâce à la démultiplication de l’information sur les réseaux sociaux, ce sont près de 350 millions d’informations de prévention qui ont été vues par les participants à Mixtaroute et leur réseau.
Patrick Jacquot, président de GEMA Prévention :
En 5 ans, avec Mixtaroute, nous avons réussi à renouveler le discours sur la prévention des risques routiers. Nous avons pu sensibiliser les jeunes aux dangers de la route en bousculant les codes des opérations traditionnelles de prévention [...] Ces chiffres prouvent que l’on peut réussir à toucher les 15/24 ans en utilisant leurs modes de communication favoris.
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