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LE BOL : l'arrivée sur le circuit

Venir sur le Castellet : juste une sensation....

Les abords du circuit Paul Ricard

LE BOL : L’ARRIVEE...SUR LE CIRCUITAh le Bol d'Or ! On arrive par le Beausset et...Est-ce mon côté féminin somme toute très développé, mais je me plante à chaque rond-point. Bon quelques flèches m’auraient évité de reprendre l’embouteillage dans l’autre sens. Reste que le paysage, normalement plutôt agréable, a une forte tendance à tirer sur le bleu… Oui ce bleu marine version képi. Je ne sais si les 500 gendarmes annoncés sont là, mais il y a presque autant de BMW et FJR à gyrophare que de motos civiles ! A part de la javel, on peut rien attraper niveau microbe tellement les abords sont aseptisés. Ça change de 1999 mais j’avais promis de ne pas jouer les vieux combattants !

Parking des réfugies !

LE BOL : L’ARRIVEE...SUR LE CIRCUITAllez zou, direction l’entrée principale, histoire de récupérer l’accréditation, ce précieux sésame du journaliste ! Un petit coup de fil à Amaury pour lui apporter deux ampoules led Tecno Globe (pub inside) histoire qu’il puisse faire le Bol Classic de nuit et on prend la direction du parking F. Le garde, super sympa, dans un accent marseillais à faire pâlir la bonne mère, m’indique que le parking est complet, d’aller en G. Et là, Amaury me rejoint et m’indique que je vais donc devoir me garer au camp des refus G (réfugiers). C’est ainsi que les pilotes du paddock du Bol d’argent et classic ont surnommé cette zone d’herbe derrière les grilles. Comme un faux air d’une actualité récente… Mais bon, y’a quand même de la mauvaise foi motarde, légendaire certes, car le lieu est convivial au final.

Du marbre !

LE BOL : L’ARRIVEE...SUR LE CIRCUITMagny-Cours, c’était cool mais pas ostentatoire, bref pratique mais sans plus au niveau infrastructure. Là comment dire… Je m’avance vers la salle de presse, premier bonjour à Thibaut Dourtre, un pilote montpelliérain qui a raté un guidon : il ne sera pas de la fête. On avance et je pète (expression du sud, ceux qui vont en vacances à Palavas expliquent à ceux qui sont restés sur Panam) deux trois bises au passage de girls, hôtesses habituelle de la salle de presse (désolé pour vous messieurs, elles n’ont pas voulu de photos !).

Au pied de la tour, discussion avec mes potes commissaires, Jean François et cie, ainsi qu’avec un rallye man qui roule en ancienne (une moto de son âge !). Surgit alors le nœud pap de Charles, ancien concessionnaire historique d’une marque italienne, grand commissaire technique et personnage haut en couleur pour qui je l'avoue, j'ai une grande tendresse !

Planète motoEt là, le choc : l’entrée dans le bâtiment pour accéder à la salle de presse, c’est du marbre. Oui du marbre ! A moi le motard qui ait fait mes débuts en 250 MZ TS 6 volts ! Entrée en salle de presse, les poignées de mains et les bises fleurissent de partout. Comme quoi, malgré un an d’absence sur les circuits, l’accueil est toujours aussi sympa et les têtes connues. Je retrouve aussi mes amis sucrés, ceux avec qui on s’envoie quelques kilos de bonbons en 24 h.

C’est aussi ça le bol. Allez, en route vers l’article synthétisant les essais.

Bref, je suis bien au Bol avec vous !