[Essai] On teste la Triumph Bobber
Succès commercial et référence historique d'un marché fleurant bon la "belle époque" motocycliste, les Triumph Bonneville étoffent leur gamme avec une nouvelle égérie, la Bonneville Bobber. Machine incontournable, à l'image puissante et rebelle, le bobber symbolise à lui seul la liberté farouche de son pilote. A l'instar de son homologue plus versatile, le scrambler, il se positionne en caïd du bitume, mettant en avant une esthétique marginale aussi puissante qu'épurée.
Inspirées de la production européenne motocycliste, plus légères, que les libérateurs américains avaient découvert à la sortie de la guerre, ces pionniers conçoivent alors des machines dépouillées. Originellement, un bobber est un custom dépourvu de tout artifice non dévolu à la performance, de l'Anglais "bobbed", c'est-à-dire coupé, simplifié. Le concept était d'améliorer les motos, tant en partie-cycle qu'en mécanique, mais en conservant le cadre de série, et surtout à moindres frais.
Pour 2017, Triumph fait donc revivre un style passionnel au travers d'une machine au style cinglant, fier et sans compromis. C'est aux environs de Madrid que nous prenons le guidon de l'éternelle rebelle.
Et heu il est où l'essai en question? J'ai raté un lien?
Non, essai en cours cher Dante.
(et c'est bien...)