[Essai] On teste la Suzuki GSX-S 750 A2
Née GSR en 2011, le roadster midsize Suzuki devenait GSX-S750 six ans plus tard. Une nouvelle appellation pour rationaliser alors la dénomination des modèles Suzuki. Celle-ci évoque les machines dont la motorisation quatre cylindre dérive des super sport de la marque. Historiquement, le symbole est également fort, car les nouveautés sont héritières des GSX750E de 1976. Le gros cube GSX1100E donnera par la suite, en 1981, la Katana, icône dont nous venons de faire l'essai de la version 2019.
Si la GSX-S750 de 2017 sort 114 chevaux, Suzuki livre désormais en plus une déclinaison moins puissante en full : 95 ch/70 kW. Ceci afin de proposer sa machine bridée au permis A2. En effet, la moto, une fois débridée, ne doit pas excéder cette puissance.
Et c'est la version 47,5 ch/35 kW que nous emmenons aujourd'hui aux environs de Benidorm Espagne), entre Alicante et Valence. Sur l'arrière-pays montagneux puis la côte espagnole, nous jugerons de l'agrément du roadster d'Hamamatsu, seul 750 à quatre cylindres du segment, en mode jeune permis !
Je pense qu'on parle de la 750.