journal d'une passagère
> Bene
En écrivant le post je me demandais à quel niveau s'arrête le plaisir pour devenir une grosse sensation et vice et versa ?
Pour ce qui est de la vitesse, je suis plutot cool dans ma conduite, le plaisir c'est de bien freiner en entrée de virage, prendre des virages proprement et relancer à la sortie de la courbe.
J'ai pas la moto pour rouler vite en fin de compte.
A + +
-> phil: je crois que tu résumes plutôt bien cette notion de plaisir à moto, "la grosse sentation" dont tu parles est éphémère certes intense et ghrrrrrrrrrrr mais elle apparait que furtivement ... de temps en temps, et c là que réside son intérêt !
et là chaque pilote sait quand, comment et ou la trouver! et nous passager sommes ravis que certains d'entre vous partage et ce plaisir de la route et de temps en temps "cette satanée sentation"! ,
et oui ce petit frisson, qu'il soit du à une accélération du tonnerre (et j'avoue que j'aime beaucoup!) ou par une grande vitesse (les moustiques aux careaux), ou par ce pas de deux dans les slaloms (que j'adore aussi!), ben ce ptit frisson là il est sacré, et on ne le retrouve qu'en moto...
quoiqu'à y réfléchir je l'ai aussi ressenti en chute libre, les premières secondes à la sortie de l'avion, cete sention de liberté intérieure face à ce défi des lois de la physique...
bref: top classe et merci encore aux pilotes qui sans s'en rendre compte distillent un peu de bonheur à l'état brute: des sensations qui font OUTCH dans les trippes!!!
bref plaisir, et sécurité font bon ménage sur le coup!