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Les Zhumeurs : quel est le truc le plus con qui vous soit arrivé à moto ?

Dans la lignée de "la honte"

La rédac du Repaire vous avoue tout !

Les Z'humeurs
  • Alexis

    Alexis, Journaliste

    Il m'arrive d'être un peu tête en l'air, de penser à ce qu'il faut, mais d'en oublier une partie. Ma plus grosse connerie est peut-être un classique ceci dit : je m'arrête, je débraye, je parle à un motard à ma gauche, je lâche l'embrayage et comme je n'ai pas repassé le point mort, la moto "saute" vers l'avant. Pas préparé à devoir la rattraper, elle chute lamentablement sur la gauche, m'offrant au passage un bon hématome sur le tibia.

  • David

    DavidRédac'

    Le coup du lacet ! J'arrive tranquillement à un feu rouge, quand une fois arrêté, le lacet de la chaussure reste obstinément coincé dans le sélecteur de vitesse. Trop tard pour essayer de récupérer mon équilibre de l'autre coté et je m'affale par terre, non sans avoir emmené dans ma chute la moto qui était juste à coté de moi. La jeune femme était en furie et mois rarement aussi honteux.

  • Hervé

    Hervé, Reporter

    Des trucs cons je crois qu'il m'en est arrivé des tonnes mais le jour où j'ai perdu les clés de la brelle en plein milieu de l'erg Chebbi, au Maroc, là ce fut le ponpon... Le plus marrant c'est que juste avant la tombée de la nuit... Je les ai finalement retrouvées, mais après avoir passé une demi tonne de sable dans mon chèche !! Quelques minutes après et la tombée de la nuit, je ne les aurai définitivement jamais retrouvées.

  • Philippe

    Philippe, Journaliste

    Un soir, je suis invité en montagne dans une maison à flanc de colline, avec le parking sur les hauteurs et des escaliers très pentus qui descendent vers la propriété. A l'époque, je roulais en Buell Ulysses, qui était une très mauvaise moto que je n'aimais pas beaucoup. Je béquille la machine dans le peu de place qui me reste derrière des voitures. La nuit, un terrible orage éclate. Un de ces orages de montagne, fourni et violent. Le matin, la machine était éclatée en contrebas, bras de fourche explosé, cadre tordu, emportée par un petit glissement de terrain. La Buell savait que je l'aimais pas. Elle s'est suicidée. Les amours contrariés sont parfois tragiques.

  • Jean-François

    Jean-François, Doc' Méca

    ‌Le plus con, je ne sais pas, mais sûrement celui où je me suis senti le plus bête, c'est au Castellet lors d'un essais d'ABS où nous avait convié Honda. Sur un espace annexe au circuit, nous devions freiner le plus court possible sur un terrain stabilisé, maculé de sable. Devant tous mes confrères de la presse, je me suis lancé gaillardement au guidon d'une VFR 800 Vtec équipée d'un freinage couplé ABS dual CBS. Arrivé sur la couche de sable, lancé à bonne vitesse j'ai empoigné généreusement les freins pour stopper mon élan au plus court. L'ABS a si remarquablement fait son boulot que j'ai été surpris, ce qui ne m'a pas laissé le temps de faire le mien... A savoir poser les pieds au sol ! Cramponné à la moto qui s'est immobilisée beaucoup plus tôt que je ne l'imaginais, je me suis lamentablement vautré de toute ma hauteur, sans même avoir eu le temps de mettre pieds à terre, sous le regard goguenard de mes collègues qui n'ont pas manqué de me soutenir moralement dans cette rude épreuve, comme vous pouvez l'imaginer. ça marche vraiment fort un bon ABS, gare à vos réflexes!

  • Alexandre

    Alexandre, Journaliste

    Le truc le plus con qui me soit arrivé à moto c'est d'avoir accepté beaucoup plus jeune de monter pour ma première fois derrière quelqu'un qui n'avait visiblement pas l'habitude de rouler avec des non-initiés. La moto n'avait rien d'extraordinaire, une Yamaha XJ600 Diversion, avec un casque Shoei trop petit et un équipement que je qualifierais de plus que léger. Le "petit tour de quartier" visant à me faire découvrir les saveurs de la moto s'est transformé en une virée cauchemardesque sur la voie rapide du coin où j'ai arrêté de regarder le compteur à 150, priant juste pour rentrer à la maison en un seul morceau. Jurant en embrassant le sol à mon retour que jamais je ne remontrerais sur une moto, je n'ai pas pu résister à l'envie de retenter ma chance plus tard, mieux équipé. Et c'était vraiment cool.

  • Serge

    Serge, Chroniqueur

    On préférerait ne pas se souvenir justement du truc le plus con qui nous soit arrivé à moto ou en tout cas ne l'avoir jamais vécu et pour cause... Bon allez comme le ridicule ne tue pas je vais vous conter cette "mésaventure" survenue lors d'un Moto Tour. Parti sous la pluie pour une longue étape de plus de 700 km, vêtu bien entendu d'un ensemble pluie sur la combinaison et d'un gilet airbag filaire (cela va prendre toute son importance) voilà qu'au bout d'un moment se fait sentir une envie pressante. Au bord de l'explosion ou tout au moins d'un remplissage de la combinaison je repère une aire de repos. Vite je m'engouffre, arrête la moto sur le bas-côté, mets la béquille et m'extirpe de la selle pour aller, enfin, répondre à ce besoin pressant. C'est à ce moment là que le câble de l'airbag me rappelle que je suis attaché à la moto. Je reviens donc vers celle-ci mais ce faisant je la pousse vers l'avant, la béquille se replie, la moto se couche dans l'herbe, explosion et me voilà transformé en bibendum couché les bras en croix par terre... Par chance ce jour là il n'y avait pas de photographe dans les parages et, ridicule ne tuant pas, je ne suis pas mort...

Plus d'humeurs

Commentaires

Aristoto

tout con, tout bête

Motard né sur le tard (mais vs connaissez le dicton, mieux motard que jamais), le permis en poche depuis 2 mois, le Fazer d'occase ds son bleu nuit, tt beau tt pas neuf, ,j'arrive chez des copains pour la 1ère fois à moto.Je m'engage ds l'allée en gravier + mousse à vitesse très réduite et d'un coup je décide de m’arrêter dvt la terrasse et freine de l'avant. C'est là que j'ai compris qu'une moto de route c'est pas un VTT, qu'un pneu avt de route ça glisse pour un rien qd le sol n'est pas goudronné et sec.

Fortement soutenu par les copains qui en rigole encore

26-01-2017 10:47 
CLEW

Salut,

Très c.on : monter sur un trottoir, parallèle à la chaussé et sortir le pied du côté de la chaussée pour le poser à terre et tenir la machine. J'avais juste oublié la marche de 15cm et première gamelle...

Arrivé à un pote. Une ballade, on s'arrête pour se dégourdir un peu les jambes. On coupe le contact et on descend de nos montures. Il avait oublié de mettre la béquille et on a dû ramasser sa moto...

26-01-2017 11:52 
southeagle

J'arrive pas à avoir ce p@$?in de plateau.
Voilà le truc le plus con qui m'arrive à bécane.

26-01-2017 12:23 
Scaven

@Philippe : "Buell Ulysses, qui était une très mauvaise moto". Ah non, je suis pas d'accord, étant l'heureux propriétaire d'un B12R (qui ne doit pas être si éloignée que ça d'une Ulysses), je ne peux pas te laisser dire ça. Tu peux dire qu'elle ne te plaisait pas pour telle ou telle raison, qu'elle n'était pas adapté à ton usage, OK, mais pas que c'est une très mauvaise moto.

Le truc le plus con : à 3 mois de permis, petite balade entre potes. A un moment donné, l'un d'entre nous tombe sur la réserve, donc on s'arrête dans une impasse pour allumer le GPS et trouver la station la plus proche, petite pause pipi,etc. Au bout de 10 minutes, me prends l'envie de descendre de la moto, je béquille, je commence à descendre de la moto, et route en pente assez importante oblige, la moto avance et paf, roulé boulé pour moi et moto sur le côté gauche. Embrayage et sélecteur HS, carénage et tête de fourche fendue (SVS 650). Fin de la balade :(

26-01-2017 14:31 
Akula

Citation
CLEW
Arrivé à un pote. Une ballade, on s'arrête pour se dégourdir un peu les jambes. On coupe le contact et on descend de nos montures. Il avait oublié de mettre la béquille et on a dû ramasser sa moto...

Arrivé à un pote, avec son zedmille flambant neuf, qui nous rejoint devant un centre commercial, se gare, oublie la béquille... et descend de sa brêle.
On a pas eu besoin de l'aider, la honte lui a donné une force... jamais vu une moto être relevée aussi promptement !

Pour ma part: béquillage de mon FZS1000 à côté d'un mobil-home, dans l'herbe, un orage la nuit... et deux moto par terre avec un rétro + couvercle de vase d'expansion de frein pété pour moi.

26-01-2017 14:57 
Fangstergangsta

Avoir acheté une MASH c'est de loin le truc le plus con qui me soit arrivé en deux roues.

26-01-2017 15:13 
CLEW

Citation
La Rédac
Le coup du lacet ! J'arrive tranquillement à un feu rouge, quand une fois arrêté, le lacet de la chaussure reste obstinément coincé dans le sélecteur de vitesse

Bin sur mes bottes j'ai pas de lacets. J'ai longtemps hésité entre avec lacets ou avec fermeture à glissière et Velcro mais devant le peu de choix avec lacets... ange

26-01-2017 15:19 
BIG83

Salut
Une mise à jour du récit de LA HONTE, donc.
V

26-01-2017 19:34 
Phil G

@Scaven : désolé, mais j'insiste. La Buell Ulysses était une très mauvaise moto (contrairement aux autres Buell pour lesquelles j'ai de la sympathie). A l'époque je vivais en Afrique du Sud et j'utilisais la Buell pour aller bosser et faire des virées avec mes potes (qui roulaient en KTM 990 Adventure et en 1200 GS) et la Buell était vraiment mal conçue. Avec la chaleur, elle tournait quasiment en permanence au ventilateur, avec le cadre alu, j'avais l'intérieur des cuisses qui brulait (j'avais des plaques et des rougeurs sur la peau). Sur piste, c'était une cata : position debout qui te ruine le dos (guidon beaucoup) trop bas), et avec le pot sous la selle, le rayon de braquage trop large, la petite roue avant et le gros frein brutal, c'est là tout ce qui ne convient pas à un trail et qui demandait beaucoup d'efforts même sur une piste assez roulante alors que pour les autres motos, c'était les doigts dans le nez. Et je te parle pas des bancs de sable... Seul point positif : elle était un peu préparée (j'avais gagné 2 m/kg de couple au banc) et elle dépotait vraiment. Bref : ma Buell Ulysses s'est suicidée et ça ne m'a pas rendu trop triste...

26-01-2017 20:05 
wideview33

Aout 1995.
Je reçois une ligne racing Yoshimura duplex pour mon vieux gex ( qui à l'époque était encore jeune...)
Super excité, je monte la ligne ( galère ) et je ne dors pas de la nuit tellement j'ai hâte d'aller rouler.
Le matin, je file de chez moi. Râââââhhhhh, quel son !
Je m'arrête au feu devant la gare d'Austerlitz.
Et là, bien sûr, deux petits bonshommes en bleu me font signe de m'arrêter. Oups...Crotte...Caca boudin...
Bonjour jeune homme, il est homologué votre pot d'échappement ?
Ben oui M'sieur l'agent, bien sûr !
Et il est où le numéro d'homologation ?
Ben là, M'sieur l'agent! ( je lui indique le numéro de série )
Mais c'est pas un numéro d'homologation ça !
Ah bon ? Mais si je vous jure !
Le type sort son sonomètre du camion. Moi je sors le carnet de chèque.
Il l'installe à petite distance alors que son collègue me prend les clefs de la moto.
Et là, instant magique. le premier s'approche tout près du pot pour mesurer la distance alors que le second démarre la moto poignée en coin.
Putain le bleu il a pris 120 décibels + rupteur + flamme en pleine tête et a fait un bond de 3 mètres en arrière !
Remis de ses émotions, il me lâche: ça va vous coûter très cher ! Je ne vais pas vous louper.
Amende, obligation de me présenter au poste dans les 3 jours avec l'échappement d'origine.
Je suis super énervé. Je pars, je prends le pont en face de la gare, mets un bon gros coup d'embrayage pour le passer en wheeling et BAAAAAM ! Carter de sortie de boîte explosé, de l'huile brûlante plein la jambe gauche, la roue qui part en travers, gauffre méchante sur le pont.
C'était pas ma journée quoi...

27-01-2017 10:28 
cricridu34

Samedi matin le DL 1000 est contrôlé de partout, chargé comme un ane.
Ce matin, il est prévu de partir de l'Hérault où je vis pour monter en Bretagne faire un peu de bateau avec des potes.
Le trajet se fait bien sûr en évitant le plus possible l'autoroute.
Nous sommes en Mai, mais il fait un temps pourri. Sévérac le Chateau - Rodez sous la neige et dans le froid.
Le DL 1000 tourne bien, les poignées chauffantes sont un bonheur, la combi de pluie, les surgants et surbottes sont une horreur.

A partir de Limoges, le DL 1000 commence à ratatouiller. Je continue, ça lui arrive de temps en temps.
A Bellac, les choses empirent, l'après-midi s'avance. Il faut que je sois à Nantes vers 18h00 pour récupérer mon fils.
A Lussac les Chateaux, le DL 1000 devient vraiment pénible. A Poitiers je vais m'arrêter dans une concession.
De toute façon, il n'y a rien avant. Mais encore faut-il y arriver...

Finalement, j'atteins la zone commerciale de Migné-Auxences où se trouve la concession Suzuki.
Au bout d'heure d'attente, le verdict tombe: Capteur TPS haut hs. On est samedi, il est 18h00, impossible de réparer dans l'immédiat.
J'appelle mon fils, il est content de faire un Vertou-Poitiers, puis Poitiers-Le Crouesty, ce qui n'était pas prévu au départ.
Entre temps, je récupère les valises du DL, je vide le top-case et je laisse les clés sur le contact. La concession ferme, j'attends dehors l'arrivée du fiston.

Nous prenons la route avec les valises dans le coffre, mais je suis toujours en tenue de moto et je suis mal.
Arrêt sur une aire d'autoroute, il va chercher des sandwichs, j'en profite pour me changer. C'est là que la dure réalité se rappelle à moi: les clés sont sur le contact
de la moto, la moto à Poitiers, la concession fermée, nous sommes samedi, je pars pour une semaine de bateau en Bretagne.

Le fils arrive avec les sandwichs. Moi, je suis assis dans la C4, en sous-vêtements polaires.
Le regard du fiston rempli de questions et de doutes. Obligé de lui raconter: les valises, pas les clés, bref le bordel...

Et là, énorme fou rire pour nous deux, qui nous a tenu pendant bien des kilomètres.
Et rebelote quand je me suis retrouvé avec un survêtement de son club de foot pour tout habillement, moi qui n'ai jamais aimé le foot.
Et rebelote quand nous avons avons retrouvé les copains sur le bateau.
Cette petite mésaventure à accompagné nos apéros pendant pas mal de temps.

27-01-2017 11:50 
cricridu34

Samedi matin le DL 1000 est contrôlé de partout, chargé comme un ane.
Ce matin, il est prévu de partir de l'Hérault où je vis pour monter en Bretagne faire un peu de bateau avec des potes.
Le trajet se fait bien sûr en évitant le plus possible l'autoroute.
Nous sommes en Mai, mais il fait un temps pourri. Sévérac le Chateau - Rodez sous la neige et dans le froid.
Le DL 1000 tourne bien, les poignées chauffantes sont un bonheur, la combi de pluie, les surgants et surbottes sont une horreur.

A partir de Limoges, le DL 1000 commence à ratatouiller. Je continue, ça lui arrive de temps en temps.
A Bellac, les choses empirent, l'après-midi s'avance. Il faut que je sois à Nantes vers 18h00 pour récupérer mon fils.
A Lussac les Chateaux, le DL 1000 devient vraiment pénible. A Poitiers je vais m'arrêter dans une concession.
De toute façon, il n'y a rien avant. Mais encore faut-il y arriver...

Finalement, j'atteins la zone commerciale de Migné-Auxences où se trouve la concession Suzuki.
Au bout d'heure d'attente, le verdict tombe: Capteur TPS haut hs. On est samedi, il est 18h00, impossible de réparer dans l'immédiat.
J'appelle mon fils, il est content de faire un Vertou-Poitiers, puis Poitiers-Le Crouesty, ce qui n'était pas prévu au départ.
Entre temps, je récupère les valises du DL, je vide le top-case et je laisse les clés sur le contact. La concession ferme, j'attends dehors l'arrivée du fiston.

Nous prenons la route avec les valises dans le coffre, mais je suis toujours en tenue de moto et je suis mal.
Arrêt sur une aire d'autoroute, il va chercher des sandwichs, j'en profite pour me changer. C'est là que la dure réalité se rappelle à moi: les clés sont sur le contact
de la moto, la moto à Poitiers, la concession fermée, nous sommes samedi, je pars pour une semaine de bateau en Bretagne.

Le fils arrive avec les sandwichs. Moi, je suis assis dans la C4, en sous-vêtements polaires.
Le regard du fiston rempli de questions et de doutes. Obligé de lui raconter: les valises, pas les clés, bref le bordel...

Et là, énorme fou rire pour nous deux, qui nous a tenu pendant bien des kilomètres.
Et rebelote quand je me suis retrouvé avec un survêtement de son club de foot pour tout habillement, moi qui n'ai jamais aimé le foot.
Et rebelote quand nous avons avons retrouvé les copains sur le bateau.
Cette petite mésaventure à accompagné nos apéros pendant pas mal de temps.

27-01-2017 13:01 
fift

Je suppose que les clefs des valises étaient restées avec la clef de contact ? C'est clair que c'est très fort !

27-01-2017 14:11 
jeandemi

Moi, le truc le plus con, je pense que c'est une panne d'essence avec la Sevenfifty.
Départ pour les vacances, bécane chargée (valises, sac réservoir, sac sur le tape-cul), madame derrière. Sur la route vers le Luxembourg, passage en réserve. Je ferai le plein là bas, l'essence y coûte les 2/3 du prix belge ! Sauf que je suis tombé à sec avant... au bord des larmes
Et à moins de 30km de la frontière, plus moyen de trouver une station service !
Même réservoir vide, c'est lourd à pousser une CB750! Ma femme n'a pas voulu m'aider parce que c'était de ma faute et qu'elle m'avait prévenu

En deuxième, je mets la fois où j'ai rentré cette même Sevenfifty dans le garage chez mes parents, je coupe le contact et sort la béquille, un clac sonore m'informe qu'elle est bien sortie. Sauf qu'elle avait rebondi et le clac était celui de la butée de position repliée !
Bref, je commence à pencher la bécane pour la reposer, et quand je me suis dit que ce n'était pas normal qu'elle soit si penchée, c'était évidemment trop tard. J'ai juste pu freiner sa chute après laquelle elle s'est retrouvée tête en bas de la petite marche de l'entrée du garage.
Évidemment, je venais juste de faire le plein... (235kg pleins faits, l'engin)
De rage, je l'ai redressée tout seul, en un coup!
Des griffes et un levier d'embrayage, en plus du câble de compteur qui avait cassé ce jour là...

27-01-2017 18:52 
waboo

La palme lecteur me semble revenir à cricri.

Celle de Serge est la meilleure de la rédac'.

Et moi? Il ne m'arrive rien de de genre. C'est peut être ça, finalement, le truc le plus con...

27-01-2017 19:12 
L'iguane

Un truc bien con, qui ne m'est pas arrivé personnellement, mais qui m'a impliqué indirectement.
C'était du temps d'avant les portables (détail qui aura son importance plus tard), avec les potes on avait loué un gîte au fin fond de la Normandie. Les non-motards de la bande étaient venus en voiture, on en avait profité pour caser les bagages dans leurs coffres.
Le w.e se passe merveilleusement bien, dans la joie et la bonne humeur.
Puis arrive le dimanche, le temps faire le ménage et de rendre le gîte. Chacun fait ses bagages, on case tout dans les bagnoles, les caisseux partent devant (t'façon on est des païlotes, on va les rattraper), on rend les clés au proprio, on se prépare à partir, et là...
"- Eh merde mais il est où mon casque ?"
Un des potes ne trouve plus son intégral. Il est obligatoirement dans une des caisses. Impossible de les joindre, personne n'a de portable je le rappelle.
Et c'est parti pour une course folle, à tenter de retrouver les bagnoles parmi les petites routes du bocage Normand, dont personne évidemment ne connaît les tenants et les aboutissants... Bien sûr le GPS était encore réservé aux militaires.
Coup de bol, on a pu les retrouver et rapporter le casque au pote, qui commençait à trouver le temps long...
On n'a jamais su qui avait mis ce foutu casque dans cette foutue voiture.

27-01-2017 20:10 
A4PATTES

ZR7, moto basique sans jauge mais avec une réserve. Je part faire me révision chez un pote à une cinquantaine de borne. En route beuh beuh et passage en réserve.
Huit jours plus tard je retourne la chercher et je sens bien les bienfaits des bons réglages, joueur quoi. Quand d'un coup c'est la panne (évidemment mon pote l'avais essayée)...... devant l'atelier d'un paysagiste, collègue d'école, qui a vider quelques tondeuses pour me dépanner.

1300 CB ont part avec des potes faire la diagonale par les tites routes. Les grands causses, y a pas beaucoup de pompes et je suis sur réserve depuis un bout de temps. On attaque une descente et... panne. Heureusement la descente est longue et en bas un rond point et son Leclerc, sauvé.

On fait la pause clops et un groupe de motards arrive. Un mec en gold vient me voir me disant être interréssé par le gros CB, me demande mon avis etc etc. Viens le sujet de la conso et autonomie et là je lui montre la pompe avec un beau 22 litres!

28-01-2017 10:03 
cricridu34

Merci waboo, ça fait plaisir de se sentir soutenu. Et oui fift, les clés des valises, du topcase, du contact. Tout resté sur la moto, c'est pas bien pratique. Ca reste malgré tout un bon souvenir grace aux rigolades mémorables que cela a suscité. Et le DL1000 a été réparé, il tourne toujours, presque tous les jours ses 110 bornes. Aujoud'hui, il a atteint les 225 000 kms, je vais peut-être lui offrir un embrayage neuf, parce que à part le TPS, un capteur de vitesse et un régulateur, tout est d'origine sur cette machine (qui a dit que Suzuki n'était pas fiable ?).

28-01-2017 17:19 
fift

C'est sûr que c'est plus rigolo … après .

Pour ma part, je crois que le truc le plus con, ça a été d'oublier de rebrancher la durite de trop plein après avoir changé le filtre à essence.
Pas de souci au début, mais pendant que je faisais le premier plein, l'essence s'est mise à couler gros comme le petit doigt par ladite durite ! Je raccroche le pistolet fissa, met mon pouce au bout de la durite pour arrêter l'hémorragie.
Bon, voilà. Et maintenant ? Me voilà à genoux au pied de la bécane, obligé de tenir ce bout de durite sous peine de vider le réservoir sur le sol de la station-service.

Heureusement, une 600 Bandit vient opportunément faire le plein à côté, ce qui me permet de lui emprunter un bouchon de durite, puis de démonter la trappe à essence et rebrancher la durite de trop-plein.
Allez faire croire après cela qu'une Ducati, c'est fiable .

28-01-2017 19:42 
Gourmand

La première année pas de moto pendant les vacances, donc la BAR, au retour le premier matin après avoir fait tout bien, cax, gants, contact,...
rechercher la ceinture de sécurité

28-01-2017 21:55 
cricridu34

@fift: gag sympa parce que tu as probablement les compétences nécessaires à l'identification rapide du soucis. Imagine le résultat avec le motard qui n'y connais rien en mécanique, ou plus simplement qui panique en voyant l'essence se répandre. Tout cela aurait pu mal se terminer. Mais il est vrai que ce qui fait le "truc le plus con", c'est surtout que tout se termine plutôt bien, sans conséquence coûteuse ou douloureuse.

29-01-2017 15:45 
Loup Garou rms

bon, j'avais déjà mis une paire d'aventure dans la honte....

celle-ci, c'était pendant une de mes excusions en Corse.
comme avant chaque départ, je donne a ma douce un double des clefs, okazou qu'elle garde dans la poche de son blouson.

Donc nous arrivons au gite, posons nos affaire et prenons la momomobile (une très vieille GS complètement ruinée) pour aller faire les courses au supermarché du coin.

Le lendemain, au moment de partir en balade, plus de clfs de la moto..; on retourne le gite, le parking, les abords de la piscine... Que tchi.

heureusement il y a les doubles de madame et nous avons terminés notre semaine tranquille.

Retour a la maison, je vide mes poches pour faire une lessive et qu'est ce que je trouve? les clef de la moto.

Elle étaient au fond du jean que j'avais mis pour faire la passage en bateau pipeau

29-01-2017 18:18 
fift

Cricri> Si je n'y connaissais rien, je n'aurais pas changé moi-même mon filtre et n'aurais pas fait la connerie. ange. Ceci dit, ça peut arriver en sortant de chez un concessionnaire. Effectivement, là, ça peut être panique à bord !

29-01-2017 19:10 
 

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Bering